A l'heure où j'écris ces lignes, il y a quand même un parfum d'automne dans l'air. Je sais que ça ne durera pas, car dans quelques jours, on se retapera du 31 degrés dans la gueule, et ça ne m'enchante pas. J'ai beaucoup moins de mal avec les températures fraîches.
Si je dresse le bilan de cet été, eh bien... pas grand-chose. J'ai pas vu grand-monde pendant plusieurs semaines, j'ai dit au revoir à une amie qui quitte le pays, et j'ai aussi fait Japaniort pour la troisième fois.
Une expérience légèrement atroce pour quelqu'un qui aime les climats tempérés, puisque c'est monté jusqu'à 45 degrés à l'intérieur, sous la tôle. Personne n'en menait large. Si je refais ce salon l'an prochain, je prends un ventilo. Heureusement, j'ai pu faire quelques rencontres et retrouvailles auprès de mon amie/esclave/nonne Flavie (qui s'est rendue indispensable en conventions), et je crois que j'ai fait un billet sur le blog d'Arcadia pour détailler tout ça.
Bon, l'autre truc qui a marqué l'été, c'est le retard à l'allumage de Forgotten Generation 4, avec ses 150 exemplaires défectueux... Du coup, la cagnotte a été lancée, mais pas forcément adoptée par tout le monde. Néanmoins, on a vite réuni l'argent nécessaire à la réimpression... qu'on va faire ailleurs. De mauvaise surprise en mauvaise surprise, je n'ai plus tellement envie de passer par l'imprimeur que nous avions. Et heureusement qu'on nous en a indiqué un nouveau, on verra ce que ça donne. Il faut encore passer à la préfecture donner les papiers pour récupérer les papiers pour récupérer l'argent.
J'ai fait ce que j'ai pu en tant que président d'Arcadia depuis 2011, en ne comptant souvent que sur moi-même, m'obligeant à assumer de plus en plus de tâches qui ne m'amusent pas, mais heureusement, j'ai maintenant un rédac-chef et un rédac-chef adjoint qui m'épaulent. Mais ça, je l'ai déjà dit aussi sur le blog d'Arcadia.
Ce que j'ai fait aussi, c'est que je me suis remis aux jeux vidéo. J'ai craqué pour Kirby - Planet Robobot, qui ne m'a pas résisté bien longtemps. J'ai aussi craqué pour une GPD-XD qui me permet de découvrir des jeux oubliés. Castlevania Bloodlines et Dracula X Chronicles sont deux introuvables, et je suis content de pouvoir enfin les tester. Par contre, ils sont durs. Très durs. Je me suis aussi remis un peu à Lego Dimensions, qui est malheureusement salement buggé. Mais pour autant, cette frénésie vidéoludique n'a pas duré. C'est juste des phases, maintenant. Faut croire que je vieillis.
Mais revenons à ce début du mois de juillet pour clore ce billet. En effet, le deuxième jour, soit le dimanche, mon ami Fabien vient à mon stand et m'annonce en regardant son téléphone qu'apparemment, François Corbier est mort. C'est le truc qui m'a un peu coupé l'envie de dédicacer. Faut dire que j'ai suivi la carrière du bonhomme pendant 14 ans, fait découvrir ses chansons à de multiples personnes, et cerise sur le gâteau, j'ai pu aller le voir en concert en 2010 ! Bon, évidemment, c'était dans une boîte où le contrat n'a pas été respecté, où Corbier était présenté comme "du Club Dorothée" (alors qu'il faisait tout pour s'en détacher) et le public lui demandait "Les chaussettes"... Le concert s'est donc terminé sur un coup de colère, et là-dessus, notre chanteur qui était encore anthume a rangé ses affaires. Par chance, on a pu le voir sur le parking avec quelques personnes pour discuter, signer des autographes... et avoir quelques morceaux supplémentaires. Bien sûr, ça ne remplaçait pas une fin de concert dans des conditions optimales, mais c'était intime. Je me suis fait tirer le portrait en compagnie de notre barbu préféré par une nana avec qui j'avais sympathisé, mais le cliché est à jamais perdu car sur un ancien téléphone qui s'est noyé. Je voulais absolument revoir Corbier en concert, pour avoir une nouvelle photo et ses nouveaux disques dédicacés, mais il n'est jamais repassé dans le coin. Pour avoir discuté avec lui, c'était quelqu'un de très humble, de très sympathique, de très abordable.
En rentrant à Poitiers, le soir du 1er juillet, j'avais donc un pincement au cœur en entendant Corbier dans l'autoradio. Car oui, la nouvelle était hélas bien confirmée. Le lendemain, j'ai donc cherché sur Internet les albums qui me manquaient encore, car j'avais trop différé leur achat. J'en ai donc trouvé trois sur les cinq (m'est avis que Toi, ma guitare et moi et Tout pour être heureux sont définitivement introuvables). Piètre consolation, toutefois, puisque je n'aurai plus jamais l'occasion de pouvoir lui parler.
Si je dresse le bilan de cet été, eh bien... pas grand-chose. J'ai pas vu grand-monde pendant plusieurs semaines, j'ai dit au revoir à une amie qui quitte le pays, et j'ai aussi fait Japaniort pour la troisième fois.
Une expérience légèrement atroce pour quelqu'un qui aime les climats tempérés, puisque c'est monté jusqu'à 45 degrés à l'intérieur, sous la tôle. Personne n'en menait large. Si je refais ce salon l'an prochain, je prends un ventilo. Heureusement, j'ai pu faire quelques rencontres et retrouvailles auprès de mon amie/esclave/nonne Flavie (qui s'est rendue indispensable en conventions), et je crois que j'ai fait un billet sur le blog d'Arcadia pour détailler tout ça.
Bon, l'autre truc qui a marqué l'été, c'est le retard à l'allumage de Forgotten Generation 4, avec ses 150 exemplaires défectueux... Du coup, la cagnotte a été lancée, mais pas forcément adoptée par tout le monde. Néanmoins, on a vite réuni l'argent nécessaire à la réimpression... qu'on va faire ailleurs. De mauvaise surprise en mauvaise surprise, je n'ai plus tellement envie de passer par l'imprimeur que nous avions. Et heureusement qu'on nous en a indiqué un nouveau, on verra ce que ça donne. Il faut encore passer à la préfecture donner les papiers pour récupérer les papiers pour récupérer l'argent.
J'ai fait ce que j'ai pu en tant que président d'Arcadia depuis 2011, en ne comptant souvent que sur moi-même, m'obligeant à assumer de plus en plus de tâches qui ne m'amusent pas, mais heureusement, j'ai maintenant un rédac-chef et un rédac-chef adjoint qui m'épaulent. Mais ça, je l'ai déjà dit aussi sur le blog d'Arcadia.
Ce que j'ai fait aussi, c'est que je me suis remis aux jeux vidéo. J'ai craqué pour Kirby - Planet Robobot, qui ne m'a pas résisté bien longtemps. J'ai aussi craqué pour une GPD-XD qui me permet de découvrir des jeux oubliés. Castlevania Bloodlines et Dracula X Chronicles sont deux introuvables, et je suis content de pouvoir enfin les tester. Par contre, ils sont durs. Très durs. Je me suis aussi remis un peu à Lego Dimensions, qui est malheureusement salement buggé. Mais pour autant, cette frénésie vidéoludique n'a pas duré. C'est juste des phases, maintenant. Faut croire que je vieillis.
Mais revenons à ce début du mois de juillet pour clore ce billet. En effet, le deuxième jour, soit le dimanche, mon ami Fabien vient à mon stand et m'annonce en regardant son téléphone qu'apparemment, François Corbier est mort. C'est le truc qui m'a un peu coupé l'envie de dédicacer. Faut dire que j'ai suivi la carrière du bonhomme pendant 14 ans, fait découvrir ses chansons à de multiples personnes, et cerise sur le gâteau, j'ai pu aller le voir en concert en 2010 ! Bon, évidemment, c'était dans une boîte où le contrat n'a pas été respecté, où Corbier était présenté comme "du Club Dorothée" (alors qu'il faisait tout pour s'en détacher) et le public lui demandait "Les chaussettes"... Le concert s'est donc terminé sur un coup de colère, et là-dessus, notre chanteur qui était encore anthume a rangé ses affaires. Par chance, on a pu le voir sur le parking avec quelques personnes pour discuter, signer des autographes... et avoir quelques morceaux supplémentaires. Bien sûr, ça ne remplaçait pas une fin de concert dans des conditions optimales, mais c'était intime. Je me suis fait tirer le portrait en compagnie de notre barbu préféré par une nana avec qui j'avais sympathisé, mais le cliché est à jamais perdu car sur un ancien téléphone qui s'est noyé. Je voulais absolument revoir Corbier en concert, pour avoir une nouvelle photo et ses nouveaux disques dédicacés, mais il n'est jamais repassé dans le coin. Pour avoir discuté avec lui, c'était quelqu'un de très humble, de très sympathique, de très abordable.
En rentrant à Poitiers, le soir du 1er juillet, j'avais donc un pincement au cœur en entendant Corbier dans l'autoradio. Car oui, la nouvelle était hélas bien confirmée. Le lendemain, j'ai donc cherché sur Internet les albums qui me manquaient encore, car j'avais trop différé leur achat. J'en ai donc trouvé trois sur les cinq (m'est avis que Toi, ma guitare et moi et Tout pour être heureux sont définitivement introuvables). Piètre consolation, toutefois, puisque je n'aurai plus jamais l'occasion de pouvoir lui parler.
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